Vision
d’ensemble

Vous trouverez ici du contenu supplémentaire en lien avec le numéro printemps 2024 de notre magazine.

D’un océan à l’autre

Qu’y a-t-il dans un nom?

Les oiseaux migrateurs reviennent au pays! Inspirons-nous du « What’s in a name? » de Shakespeare pour réfléchir à la signification de leurs noms. (page 4).

Récemment, l’American Ornithological Society (AOS) a décidé de renommer toutes les espèces d’oiseaux éponymes ou qui ont des appellations non éponymes jugées offensantes ou péjoratives. Cette initiative a été saluée comme un excellent moyen de mieux refléter l’apparence, le comportement ou les besoins en matière d’habitat des oiseaux, soit en leur donnant essentiellemen  des noms qui les célèbrent pour ce qu’ils sont. Renommer les oiseaux peut aussi démanteler des barrières pour les personnes qui ont souffert du colonialisme occidental, ce qui, espérons-le, contribuera à rendre plus accessible et inclusif le monde naturel, et plus particulièrement celui de l’ornithologie, pour les personnes et les communautés qui ont souffert de l’exclusion et du racisme systémiques.

Alors que les oiseaux migrateurs nous arrivent en grands nombres, voici des informations au sujet de quelques-uns d’entre eux ainsi que nos suggestions de nouveaux noms.

Article principal

Présents à l’appel

Conserver des zones de biodiversité représentatives de paysages et d’espèces non encore protégés est essentiel dans la création d’écosystèmes résilients (page 8).

Nulle part ailleurs au pays se trouve une région où la représentativité en matière de conservation n’est aussi cruciale que dans la zone côtière de Douglas de Menzies dans le sud-ouest de la Colombie-Britannique.  La toute nouvelle aire de conservation de CNC dans cette province, l’aire de conservation Reginald Hill, sur l’île Salt Spring, répond à ce besoin.

Profil d’espèce

Le castor

L’ingénieur aquatique et gestionnaire de milieux humides par excellence au Canada (page 12).

CNC à l’œuvre

Conservation d’une halte migratoire clé

L’agrandissement d’une halte migratoire d’importance mondiale située sur la berge est du lac Chaplin marque un jalon important dans la conservation des milieux de prairies au Canada. Totalisant désormais 1 286 hectares, ses prairies et milieux humides offrent un habitat à une diversité d’oiseaux de rivage, y compris le bécasseau sanderling, le bécasseau semipalmé et le pluvier siffleur. (page 15).

La parole est à vous

Une passion pour la nature

Helen Salkeld, entomologiste à la Ferme expérimentale centrale d’Agriculture et Agroalimentaire Canada à Ottawa, était une véritable naturaliste qui a passé sa vie à veiller sur l’environnement naturel autour d’elle. En 2002, elle a fait don de 20 hectares situés dans l’est de l’Ontario à Conservation de la nature Canada. (page 15).

En 1954, avec trois de ses amies, elle a sauté dans une voiture et pris la route depuis l’Ontario jusqu’en Colombie-Britannique. Cette extraordinaire aventure à travers le pays leur a permis de pique-niquer dans des champs, dormir à la belle étoile et de faire trempette dans des lacs et des rivières. Voici quelques photos de cette grande aventure.

Road trip - summer of ’54 / Road trip : été 1954

Votre impact

Soutenir les espèces menacées

Grâce à votre appui, Conservation de la nature Canada (CNC) et ses partenaires ont protégé un corridor naturel dans les municipalités de Ham-Sud et Ham-Nord, en Estrie (QC). Celui-ci favorise la survie et la résilience d’animaux et de végétaux de la région, y compris celles d’espèces menacées comme la polémoine de Van Brunt (une plante). (couverture arrière)